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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 07:20

CAFQuand l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés. Même nés à l’étranger.

En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 5 avril dernier en assemblée plénière (si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant « épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.

Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de « non-discrimination » inhérent à la jurisprudence européenne – laquelle interdit depuis les années 1980 aux États de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques – mais aussi l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les États extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues !

Cela signifie, en clair, que tous les efforts faits par la France depuis 1993 (gouvernement Balladur) pour limiter les fraudes au regroupement familial viennent de voler en éclat : à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée…

On se souvient, en 2010, de l’affaire Hebbadj, du nom de ce français d’origine algérienne soupçonné d’avoir fait subventionner par la caisse d’allocations familiales de Loire Atlantique un foyer composé de quatre femmes et de douze enfants. Finalement mis hors de cause, le 27 mars dernier par le tribunal de Nantes (mais condamné pour des faits connexes à six mois de prison avec sursis), M. Hebbadj ne connaîtrait plus aujourd’hui, tous ces « tracas ». Quand bien même il n’aurait pas acquis la nationalité française, le seul fait de reconnaître les enfants de ses compagnes comme les siens suffiraient à lui accorder de plein droit le bénéfice des prestations familiales…

A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale, on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration ! En 2010, les services du ministère de l’Intérieur, sollicités par Brice Hortefeux, avaient recensé, au bas mot, 80.000 pères de famille dans le cas de M. Hebbadj. Un chiffre, certes approximatif, comme le sont, par nature, ceux des hors-la-loi présumés, mais qui n’en donne pas moins le vertige. Même en partant d’une hypothèse extrêmement basse (deux femmes pour un homme, et deux enfants par femme), voilà qui désignerait au moins un demi-million de personnes vivant sous un régime que proscrivait jusqu’alors le droit français.

Or tout indique que la réalité est bien pire. Écoutons l’ancien député communiste de Seine-Saint Denis, Jean-Pierre Brard, peu suspect de « complicité » avec la droite, cité dans une étude passionnante que la Fondation Montaigne avait consacrée, en novembre 2009, à la polygamie. Maire de Montreuil jusqu’en 2008, celui-ci rapportait la situation de deux frères jumeaux d’origine africaine : « Mariés chacun à deux épouses, ils avaient à eux deux 40 enfants, la plupart inscrits dans la même école. Nous avons mis un an à les convaincre de disperser les gamins dans différents établissements scolaires. Les deux pères voulaient qu’on leur trouve un grand appartement pour continuer à vivre tous ensemble. J’ai refusé fermement : non seulement nous n’avons pas de 15 pièces, mais, en plus, la famille coûtait déjà une fortune à la commune. »

Nul doute qu’avec la décision du 5 avril, le casse-tête tournera bientôt au cauchemar pour de nombreux maires !

Par Éric Branca, Valeurs actuelles

 

http://www.kabyles.net/allocations-familiales-pour-tous-l,10128.html

 


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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 16:43

LogementsUn gendarme a été hospitalisé dans un état grave hier soir après avoir été volontairement percuté par une voiture qui tentait de prendre la fuite à Fosses (Val-d'Oise), a-t-on appris auprès de la gendarmerie et d'une source proche du dossier. Ce gendarme-adjoint, dont l'âge n'a pas été précisé, a été hospitalisé à l'hôpital de Gonesse (Val-d'Oise). Il souffre d'une fracture au bassin et d'un traumatisme crânien mais son pronostic vital n'est pas engagé, a précisé la source proche du dossier. Selon la gendarmerie, le militaire a été percuté hier vers 17h30 près du lycée Charles Baudelaire, dans la Zone de sécurité prioritaire (ZSP) de Fosses-Louvres, alors qu'il intervenait pour intercepter trois voitures engagées dans un rodéo routier. "Lorsque les gendarmes sont arrivés, les trois véhicules ont essayé de prendre la fuite", a raconté la source proche du dossier. L'une des voitures, pour tenter d'échapper au contrôle routier, a "délibérément foncé sur le gendarme" et l'a percuté, a ajouté la gendarmerie. Deux des trois voitures ont été retrouvées vides près du lieu de l'accident. La troisième a été interceptée 45 minutes plus tard, à Marly-la-Ville (Val-d'Oise), avec six personnes à bord. Quatre d'entre elles ont été placées en garde à vue, a précisé la gendarmerie. Selon la source proche du dossier, le conducteur présumé de la voiture qui a foncé sur les militaires,un jeune majeur, figure parmi les gardés à vue. Une enquête en flagrance pour "tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'ordre public" a été ouverte. La brigade de recherches de la gendarmerie de Montmorency (Val-d'Oise) est chargée de l'affaire.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/18/97001-20130518FILWWW00381-95-un-gendarme-fauche-par-une-voiture.php

 

Les fameuses ZSP instaurées par Hollande et dont Valls vantait les mérites. On voit un échec de plus dans les mesures prises par ce gouvernement.

 


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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 16:29

Suite à une opération chirurgicale ratée, le petit Bruce Reimer, âgé de neuf mois, a le pénis irrémédiablement endommagé. Ses parents, ne sachant que faire, finissent par se tourner vers le Pr. John Money qui avait acquis une certaine notoriété grâce à son travail sur les enfants « intersexes » au sein du centre universitaire John Hopkins de Baltimore. Le Pr. Money pensait que l’identité sexuelle des enfants, garçon ou fille, était suffisamment plastique, durant les premières années de la vie, pour permettre de réassigner un nouveau genre à un enfant grâce à un suivi médical (pris d’hormone), psychologique (une thérapie) et culturel (rôle de l’environnement et des parents). Il finit donc par convaincre les parents du petit Bruce qu’il était tout à fait possible de changer le sexe/genre de leur enfant et que celui-ci serait plus heureux, du fait de son infirmité au pénis, en petite fille. C’est ainsi qu’il entreprit de transformer le petit Bruce, âgé alors de 22 mois, en « Brenda ». Après opération, il suivit en thérapie la « nouvelle » petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l’étudier. Le Pr. Money souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la « flexibilité de la division sexe/genre ». Il publia dès 1972 un livre pour vanter les résultats de son expérience. Une expérience qui sert de caution à la « théorie du genre » C’est à partir de ce simple cas que la « théorie du genre » s’est développée en prétendant que « ce que nous appelons communément le « sexe biologique » renvoie bien davantage aux rôles et comportements sexuels qu’à un processus biologique de sexuation. Les motivations de Money montrent que ce que nous appelons le « sexe », biologique, stable, évident, comporte toujours un surplus par rapport à la sexuation des corps. Ce que nous appelons alors le « sexe des individus », c’est-à-dire la bicatégorisation sexuelle des individus en « mâles » et « femelles » serait davantage le fait de facteur exogène que d’une détermination endogène. Cela ne remet pas seulement en question la causalité « naturelle » du sexe (mâle et femelle) sur le genre (homme et femme) et la sexualité (hétérosexualité), prônée par la majorité des écrits médicaux du XIXème siècle, mais bien notre définition même du sexe biologique » [1] Dès 1972, Ann Oakley, une sociologue britannique, s’est appuyée sur les travaux de Money pour imposer la distinction entre sexe et genre et la populariser au sein des milieux féministes grâce à son livre « Sex, gender et Society ». « Les recherches sur les individus « intersexes » ainsi que sur les phénomènes de transsexualité, démontrent que ni le désir sexuel, ni le comportement sexuel, ni l’identité de genre ne sont dépendants des structures anatomiques, des chromosomes ou des hormones. D’où l’arbitraire des rôles sexuels. » affirme, de façon péremptoire, Ilana Lôwy, dans les Cahiers du genre. [2] Quant à Elsa Dorlin, professeur de philosophie à l’Université Paris 8, elle poursuit : « A partir de cette première élaboration, le concept de genre a été utilisé en sciences sociales pour définir les identités, les rôles (tâches et fonctions), les valeurs, les représentations ou les attributs symboliques, féminins ou masculins, comme les produits d’une sociabilisation des individus et non comme les effets d’une « nature ». » [3] Une expérience qui finit comme un drame Les avocats de la théorie de genre, qui aujourd’hui encore s’appuient sur l’expérience de Money pour légitimer leurs thèses, oublient toujours de préciser ce qui est arrivé à la petite Brenda. La transformation a-t-elle été aussi réussie qu’ils le prétendent ? La réalité est malheureusement beaucoup plus tragique. Malgré les traitements hormonaux et la thérapie, Bruce devenue Brenda n’a jamais réussi à se sentir bien dans sa peau. À 13 ans, il ou elle manifesta des tendances suicidaires et refusa de continuer à voir le Pr. Money. Face à la détresse de leur enfant, les parents de « Brenda » furent amenés à lui révéler la vérité sur sa réassignation de genre et « Brenda » entrepris une nouvelle transformation pour redevenir un garçon et demanda à ce que désormais on l’appelle « David ». En 1997, David se soumit à un traitement pour inverser la réassignation, avec injections de testostérone, une double mastectomie et deux opérations de phalloplastie. Cette malheureuse expérience marqua profondément David Reimer qui décida de rendre public son histoire. Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d’éviter que d’autres enfants subissent les mêmes traitements. En 2004, David Reimer, toujours fragile, finit par se suicider. Voilà comment finit la vie tragique de Bruce/Brenda/David Reimer. Malheureusement, ce drame n’a pas empêché ceux qui voyaient en lui un simple cobaye au service de leur « théorie » de continuer à se référer à cette expérience comme si elle avait été une réussite. La mort tragique de David Reimer aurait dû servir de leçon aux apprentis sorciers de la théorie du genre. Malheureusement, ils ont préféré oublier ce triste épilogue et continuent, aujourd’hui encore, à le cacher pour ne pas discréditer leur théorie. [1] Elsa Dorlin, Sexe, genre et sexualité, PUF, 2008, pp.36-37 [2] Cité par Elsa Dorlin, ibid, p.39 [3] ibid, p.39

 

http://www.theoriedugenre.fr/spip.php?article46

 


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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 22:00

voile-integralSa promesse de donner aux étrangers le droit de vote aux locales paraissait enterrée: s'est engagé jeudi à présenter un texte au après les municipales de 2014, sans garantie de rassembler la majorité qui lui manque aujourd'hui.
"Je ne veux pas donner l'impression que nous chercherions avant les municipales à utiliser cette question du droit de vote des étrangers pour entretenir je ne sais quel malentendu", a déclaré le chef de l'État, abordant le sujet de sa propre initiative lors de sa seconde conférence de presse à l'Elysée.
Mais après cette échéance, "comme il n'y aura plus d'enjeu", un texte "sera soumis au Parlement et le Parlement en fera l'adoption s'il le souhaite", a-t-il promis.
Le ton tranche avec la prudence affichée lors de sa précédente conférence de presse en novembre: "Présenter un texte avec le risque de diviser les Français pour au bout du compte ne pas le faire passer: je m'y refuse."
Pas sûr pourtant que la réforme ait plus de chances d'aboutir dans un an.
Permettre aux étrangers non communautaires de voter nécessite de réformer la Constitution, ce qui passe par un vote d'au moins 3/5e des parlementaires ou un référendum.
Aujourd'hui, il manque une trentaine de voix pour une adoption en Congrès et 56% des Français sont opposés à la réforme, selon un sondage Ifop publié en février.
"Pourquoi la situation serait plus simple après les municipales ? Ca risque d'être le contraire...", a estimé Pierre Tartakowski, président de la Ligue des droits de l'Homme (LDH).
Même "peur" pour Mohamed Mechmache, président du réseau AC Le Feu, créé après les émeutes urbaines de 2005: "S'il tarde trop, il risque de perdre sa majorité au Sénat."
La moitié du Sénat sera renouvelé en septembre 2014 par un vote de grands électeurs, en grande majorité issus des conseils municipaux. La gauche, qui contrôle actuellement de nombreuses grandes villes, risque d'en perdre en cas de vote sanction contre le gouvernement.
"La France est capable d'assumer de grands débats"
"Dans les quartiers, les gens vont penser qu'on les mène encore en bateau: on nous ressort la question du droit de vote avant les élections, mais les gens vont sentir une tromperie", a estimé M. Mechmache.
Serpent de mer de la vie politique depuis plus de 30 ans, cet engagement avait été abandonné par François Mitterrand en 1981 puis par Lionel Jospin, dont la gauche plurielle avait fait voter une proposition de loi par l'Assemblée en mai 2000.
François Hollande avait repris l'idée dans ses 60 engagements, après l'adoption en décembre 2011 d'un projet de loi au Sénat tout juste passé à gauche.
Dès septembre, le gouvernement avait émis ses premiers doutes, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls estimant que la réforme ne représentait "pas une revendication forte", avant d'appeler à "ne pas se précipiter".
En février, le locataire de la Place Beauvau mettait de nouveau en garde contre les risques de clivage sur cette question: "Faisons attention, les uns et les autres, sur ces questions-là, surtout si elles ne peuvent pas aboutir, à ne pas diviser davantage".
La Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a également alerté sur les risques d'"instrumentalisation du débat". "Il est important quand on prend des engagements de candidat de les tenir", a jugé son président Alain Jakubowicz. "Mais espérons que le débat sera digne..."
Dans son intervention, le chef de l'État a indirectement répondu à ces craintes. Évoquant les divisions autour du mariage homosexuel, il a assuré: "La France est capable d'assumer de grands débats sur des questions de société."
Quant à AC Le Feu et la LDH, ils sont prêts pour le débat. "On a des arguments", assure M. Mechmache. "Je n'ai qu'une certitude: nous allons continuer à nous battre", a renchéri M. Tartakowski.

 

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/francois-hollande-remet-le-droit-de-vote-des-etrangers-au-menu-16-05-2013-2809235.php

 

La crainte de l'absence du vote des immigrés c'est de perdre le sénat ! Ils savent bien qu'en donnant le droit de vote à des millions d'immigrés, le Sénat restera à gauche. Là, vu la situation catastrophique de la France au bout d'un an de socialisme le sénat est perdu ... Dommage ..


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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 19:11

bastille-drapeaux-algerienDésormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant «  épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.

Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de « non-discrimination » inhérent à la jurisprudence européenne – laquelle interdit depuis les années 1980 aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques – mais aussi l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues ! 

Cela signifie, en clair, que tous les efforts faits par la France depuis 1993  (gouvernement Balladur) pour limiter les fraudes au regroupement familial viennent de voler en éclat : à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée…   

On se souvient, en 2010, de l’affaire Hebbadj, du nom de ce français d’origine algérienne soupçonné d’avoir fait subventionner par la caisse d’allocations familiales de Loire Atlantique un foyer composé de quatre femmes et de douze enfants. Finalement mis hors de cause, le 27 mars dernier par le tribunal de Nantes (mais condamné pour des faits connexes à six mois de prison avec sursis), M. Hebbadj ne connaîtrait plus aujourd’hui, tous ces « tracas ». Quand bien même il n’aurait pas acquis la nationalité française, le seul fait de reconnaître les enfants de ses compagnes comme les siens suffiraient à lui accorder de plein droit le bénéfice des prestations familiales…    

A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale, on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration ! …

 

http://www.chretiente.info/201305142845/nouvelle-pompe-aspirante-de-limmigration/

 

 

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 07:33

Casseurs PSGLa célébration du troisième titre de champion de France du PSG devrait laisser des traces... La préfecture de police a évoqué lundi soir 30 blessés, dont trois des forces de l’ordre et 21 personnes interpellées pour jets de projectiles et dégradations.

Des voiture calcinées, des arrêts de bus vandalisés, des cafés saccagés, et même un bus de touristes pillé... Les Parisiens ont pu assister à de véritables scènes de guerillas urbaines. Devant l’ampleur des incidents, le club et son parraineur Nike ont préféré annuler la mini-croisière que devaient faire les joueurs sur la Seine pour saluer leurs supporteurs. "Le club et l’équipementier ont décidé d’annuler l’opération pour des raisons de sécurité", a indiqué une porte-parole de Nike à l’AFP.

Dès le début des festivités, l'ambiance était explosive sur la place du Trocadéro. Les premiers incidents ont éclaté vers 18h20, peu après la remise du trophée aux joueurs. Certains supporters ultras ont d’abord jeté des fumigènes sur les stewards du club, puis ont escaladé un échafaudage installé le long du palais de Chaillot. Peu après, les perturbateurs ont déployé une banderole "Liberté pour les ultras", en référence à la politique de sécurisation du Parc des Princes mise en place il y a trois ans. Pendant ce temps-là, des casseurs ont profité de la confusion pour piller un car de touristes... A 21 heures, le calme était revenu sur la place du Trocadéro, rouverte à la circulation, mais en contrebas, des supporteurs continuaient à faire face aux forces de l'ordre sur le pont menant à la Tour Eiffel. 

La préfecture de police de Paris a indiqué, aux alentours de 23 heures, que trente personnes ont été blessées, dont trois parmi les forces de l'ordre, au cours de ces débordements. Vingt-et-une personnes ont été interpellées après des jets de projectiles ou des dégradations.

Manuel VallsLe ministre de l'Intérieur Manuel Valls, était lundi soir sous le feu de nombreuses critiques. Dans un communiqué, Geoffroy Didier, secrétaire général adjoint de l'UMP, a  déploré "l'inadmissible confusion au coeur de la capitale dont le premier responsable est le gouvernement: où était le préfet de police ? Quels ordres ont été données ou n'ont pas été donnés d'agir ? Que faisait concrètement le ministre de l'intérieur ?". 

"Le ministre de l'intérieur Manuel Valls est beaucoup plus vigilant quand il s'agit d'assurer l'ordre de manifestations qui concernent le Mariage pour tous" a déclaré pour sa part Claude Goasguen, député-maire du XVIe arrondissement, dans le Figaro.

Alliance, second syndicat des gardiens de la paix, a jugé que les autorités avaient sous-estimé l'ampleur de la cérémonie de remise du trophée.

 

http://www.atlantico.fr/pepites/psg-violents-incidents-pendant-celebrations-30-blesses-et-21-personnes-interpellees-725853.html


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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 13:00
Police2Frédéric Lagache (secrétaire général d'Alliance): «Les voyous sévissent juste à côté»

La concentration policière dans les zones de sécurité prioritaire, qui monopolise en permanence plus d'une dizaine de compagnies républicaines de sécurité (CRS), créerait-elle des reports de délinquance ailleurs dans le pays? C'est ce que redoutent certains syndicats de police. «Partout en France, les collègues observent que ce l'on appelle un “effet splash” sur la délinquance, c'est-à-dire un transfert de la criminalité qui se déplace aux abords des zones prioritaires, affirme ainsi Frédéric Lagache, secrétaire général d'Alliance (gardiens de la paix et gradés). Quand les CRS, les compagnies de sécurisation ou encore les gendarmes mobiles s'installent, les voyous, qui ne sont pas fous, s'adaptent en sévissant juste à côté. Ce jeu du chat et de la souris démotive les fonctionnaires et renforce le sentiment d'impunité des caïds.»

Balayant l'idée d'un «effet plumeau» qui éparpillerait la délinquance façon puzzle, le cabinet de Manuel Valls rappelle que «les ZSP ne sont et ne seront jamais des zones exclusives de sécurité». «Les contours de nos dispositifs, très souples, peuvent être élargis selon les besoins», assure un fonctionnaire de haut rang.«L'initiative pourrait être intéressante si l'administration s'était donné davantage de moyens, aussi bien techniques qu'humains, pour tenir les territoires», insiste Frédéric Lagache. Sur le terrain, nombre de policiers persistent à considérer en outre que les opérations qu'ils mènent à longueur de semaine ne sont guère suivies d'effet par la justice. Et la politique pénale de Christiane Taubira, plus que jamais taxée de «laxisme», n'est pas de nature à calmer les esprits.

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/05/13/01016-20130513ARTFIG00001-banlieues-plus-de-moyens-pour-les-zsp.php

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 16:53

WoerthLe parquet de Bordeaux a requis des non-lieux dans l'un des dossiers de l'affaire Bettencourt pour l'ancien ministre du Budget Eric Woerth et l'ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt Patrick de Maistre. Les deux hommes ont été mis en examen en 2012 pour trafic d'influence concernant la remise d'une Légion d'honneur à Patrick de Maistre.

Pour mémoire, les juges d'instruction en charge du dossier ont estimé qu'Eric Woerth avait pu attribuer une légion d'Honneur à Patrick de Maistre en échange d'un emploi pour sa femme, Florence Woerth, dans une société de Liliane Bettencourt. Le parquet estime que "le lien de corrélation entre les deux faits n'est pas formellement démontré". Par ailleurs, il estime que "l'action conduite par Eric Woerth n'encourt aucun reproche" dans un sous-dossier concernant la mise à disposition par l'Etat d'une parcelle destinée à recevoir la construction d'un auditorium financé par Liliane Bettencourt.

 

L'ancien trésorier de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, a subi deux mises en examen dans cette affaire en 2012. La première, le 8 février 2012 pour trafic d'influence passif. La seconde, le 9 février 2012 pour recel d'une somme remise par Patrice de Maistre. Si justice écoute les réquisitions du parquet, il pourrait donc être débarrassé du premier de ces deux fardeaux.

 

http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/10/affaire-bettencourt-nonli_n_3252684.html?utm_hp_ref=france

 

 

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 08:53

Ecole abb274c857Les statistiques soulignent depuis plusieurs années que les enfants de cadres réussissent mieux que les enfants d’ouvriers. En 2010, seulement 3,4 % d’enfants de cadres arrivent avec du retard en sixième mais 18,3 % d’enfants d’ouvriers. 95,3 % des enfants de cadres et de professions intellectuelles supérieures obtiennent le brevet à l’issue du collège contre 78 % des enfants d’ouvriers.

Ces données, Annie Lasne les connaît par cœur. Cette enseignante à l’IUFM de Franche-Comté vient de démontrer dans une thèse que si les enfants d’enseignants réussissent particulièrement bien à l’école, ce n’est pas seulement parce qu’ils sont des enfants de cadres.

Ces enfants de profs (exerçant en primaire ou au collège) réussissent même mieux et ce dès l’école élémentaire, remarque la chercheuse s’appuyant notamment sur une série d’études et de panels. « 98,5 % des enfants d’enseignants contre 97 % des enfants de cadres accèdent à l’heure ou en avance en CE 2.

Cet écart s’accroît légèrement aux deux niveaux suivants ». Et se creuse avec les résultats de l’évaluation nationale des compétences à l’entrée en 6e. Ils sont 96,8 % à obtenir le brevet en 2010, contre 95,3 % des enfants de cadres et professions intellectuelles supérieures. Les carrières scolaires sont éclairantes : 71,7 % des enfants d’enseignants entrés en 6e en 1995 ont obtenu un bac général contre 68 % des enfants de cadres supérieurs.

Si Annie Lasne s’est essentiellement appuyée sur des études relatives au primaire et au collège, pour étayer sa démonstration, elle confirme, au fil de sa thèse, que « la différenciation avec les enfants de cadres […] perdure jusqu’à l’enseignement supérieur ». Ainsi, 63 % des enfants d’enseignants obtiennent un diplôme au moins égal à bac + 3, contre 52 % des enfants de cadres.

Sur la durée d’un parcours scolaire, « bien que l’écart soit toujours mesuré faible, il est récurrent et orienté dans le même sens. En termes de réussite scolaire, les enfants d’enseignants ont effectivement plus de chances que les autres enfants d’obtenir les meilleurs résultats », affirme Annie Lasne.

Mais pourquoi ? La chercheuse ne se contente pas de mettre en lumière des éléments chiffrés. Elle les accompagne d’explications qui portent sur les stratégies familiales spécifiques aux parents enseignants. Grâce notamment à ce qu’elle appelle cette « continuité entre les sphères scolaire et familiale ». Des facteurs de réussite qui, à ses yeux, sont autant de pistes pour lutter contre l’échec et les inégalités.


Philippe RIVET

 

http://www.vosgesmatin.fr/actualite/2013/05/07/enfants-d-enseignants

 

Ils font ce que la gauche tente de supprimer depuis bien longtemps, le travail à la maison ! La gauche par idéologie égalitariste, veut supprimer les devoirs à la maison. Mais les enseignants (en particulier ceux du primaire) eux continueront d'apprendre à leurs enfants mieux qu'aux autres. Tout ça surement afin de préserver la caste des "sachants" face à la caste ouvrière qui elle doit rester en bas de l'échelle et ne pas accéder au savoir. Il est plus facile de manipuler des gens ayant peu de culture générale et un accès limité à la lecture ...

 

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 17:08

 

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